La Louvière : un nouveau chocolatier Valentino franchisé

L'entreprise Valentino Chocolatier, née en 1978 et spécialisée dans les chocolats belges artisanaux, a ouvert un nouveau point de vente en octobre dernier dans le centre-ville de La Louvière. Mariana Harsu est à l'origine de ce projet, elle a décidé il y a quelques mois de changer de vie en passant d'aide-ménagère à commerçante indépendante.

La franchise Valentino Chocolatier a poursuivi son expansion en octobre dernier avec l'ouverture d'un nouveau point de vente au centre-ville de La Louvière. Mariana Harsu, une louviéroise d'origine roumaine, est à la tête de ce nouvel établissement.

« Je voulais devenir indépendante pour être autonome et avoir ma boutique. Je suis devenue franchisée depuis octobre 2022 et je suis très contente car il n'y a pas de chocolaterie au centre-ville », exprime fièrement la gérante Mariana Harsu.

L'enseigne propose des chocolats artisanaux belges confectionnés dans un atelier proche de Bruxelles. Elle privilégie au maximum les fournisseurs locaux et travaille en étroite collaboration avec la fondation Cocoa Horizons pour soutenir les producteurs de cacao en Afrique.

« Nous collaborons depuis quelques années avec eux. C'est un programme pour développer la situation des gens en Afrique de l'Est », explique Mariana Harsu.

La tenancière ne s'était pas destinée à travailler dans la vente, mais a décidé en octobre dernier de changer de vie pour devenir commerçante indépendante.

« J'ai découvert le monde de la chocolaterie et j'en suis tombée amoureuse. J'ai travaillé à Bruxelles comme vendeuse dans une fabrique pendant six mois et après j'ai décidé d'ouvrir ma propre boutique », ajoute-t-elle.

La période de Pâques approchant, les clients commencent doucement à passer leurs commandes. Mais la commerçante ne tourne actuellement qu'autour de 50 clients par semaine, et doit encore accroître sa notoriété.

« Nous avons ouvert il y a quelques mois et ne sommes pas vraiment connus. On attend les commandes pour Pâques qui commencent doucement », conclut la commerçante.

Romain Schrevens