Binche : le groupe Wanty recrute 100 nouveaux collaborateurs
Publié le 17 mars 2023 à 08:59 - Mis à jour le 17 mars 2023 à 09:57Le groupe Wanty cherche à renforcer ses effectifs qui sont déjà bien fournis puisque l'entreprise active dans le secteur de la construction compte 1500 travailleurs. 100 nouveaux postes sont à pourvoir mais le secteur fait face à une pénurie de main-d'œuvre. Pour trouver ces nouveaux collaborateurs, une campagne s'accompagnant notamment de formations vient d'être lancée.
Le groupe Wanty souhaite recruter 100 nouveaux travailleurs pour l'année 2023. Pour y parvenir, l'entreprise a décidé de lancer une campagne de communication nommée "WeWANTYou".
« L'objectif de cette campagne est triple. Recruter du personnel expérimenté directement employable, former des gens ne faisant pas partie du secteur de la construction ou encore proposer aux jeunes diplômés un plan de carrière pour mettre en pratique le savoir acquis au cours de leurs études », précise Gregory Cambier, Directeur des Ressources Humaines chez Wanty.
Centropôle soutient l'initiative lancée par le groupe Wanty de renforcer ses opérations de formation afin de recruter de nouveaux talents.
« Avec Centropôle, nous travaillons à actionner les leviers nécessaires pour le développement de la Région du Centre. L'emploi et la formation font partie de ces leviers », indique Laurent Devin, Président de Centropôle.
Ces demandeurs d'emploi seront formés aux différents métiers du secteur de la construction grâce à des formations sur-mesure imaginées par Wanty en partenariat avec le Forem et l'IFAPME.
« On va travailler ensemble à la création de la formation en envisageant les compétences que les personnes doivent avoir pour pouvoir exercer correctement le métier dans l'entreprise. On va travailler ensemble à recruter les apprenants », explique Nathalie Detremmerie, la Directrice Formation et Compétences Forem Hainaut Centre.
L'entreprise a fait appel à l'humoriste Martin Charlier, alias Kiki l'Innocent, qui a accepté d'associer son image à celle de la campagne.
« Dès que ça peut toucher à l'emploi ou à la formation, je trouve ça très noble. D'habitude je n'accepte pas de faire des publicités pour des produits. J'ai été là pour faire le lien entre la société et les éventuels demandeurs d'emploi », conclut Martin Charlier.
Romain Schrevens