Après la fête, il faut remettre de l’ordre. Ce matin vers 4 heures, le personnel communal s’est mis au travail pour nettoyer la ville. Une vingtaine d’hommes étaient sur le pont pendant que les participants au Carnaval prenaient un repos bien mérité.
Il est 6 heures. Alors que les derniers roulements de tambour résonnent dans la ville endormie, les équipes de nettoyage sont au travail depuis plus de deux heures… Comme elles l’ont fait dimanche et lundi dès 3 heures et mardi dès une heure du matin.
Balayeuse, hydrocureuse haute pression, pickups vont et viennent dans un ballet soigneusement organisé.
Plus loin, ce sont les détritus qui sont évacués à grands coups de brosse et pelle. Leur volume semble témoigner de la forte fréquentation de ce Mardi gras.
D’autres agents communaux ont pour mission de charger les 2,5 km de barrières nadar pour les ramener à leur propriétaire.
Pas le temps de trainer : le défi en cours est de taille, il faut que les stigmates des Jours gras soient effacés avant midi et que le carnaval 2024 ne laisse plus derrière lui que d’agréables souvenirs.
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